La dernière flambée du Gouddha…

(Strictement réservé aux non-initié·e·s)

Écoutez le Gouddha, ô, mes Ghikkhous très sages,
J’entrerai cette nuit en Parivirnana ;
Je ferai le grand saut vers l’ultime passage,
Quand j’aurai bien sauté quelques chaudes nanas…

Elles sont délurées ces lascives disciples,
Qui prisent le corps nu, et méprisent l’Esprit ;
Dans ma grande bonté, je les aime multiples,
Car j’avoue moi aussi que leur cul me surprit.

Pourquoi ne pas céder aux désirs de la femme,
Une fois liquidées les dettes du karma,
Et que l’une d’entre elles un jour nous charma,

Quand son sein ou sa cuisse attise notre flamme…
— Le jeu du Ramsasa vaut bien le Virnana,
Quoique l’extase ailée compte bien des fanas.


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