
(À la source d’une Ode)
Bien que toujours centré sur le divin Hara,
Je nage encore en plein désert du Sahara ;
Comment ouvrir les vannes, que l’énergie coule ?
Pour qu’enfin la belle et douce Margot roucoule…
Je dois trouver le bon filon pour la charmer ;
Elle est désirable au point de me désarmer…
Je m’effondre tout blanc de voir sa chatte* noire,
Je reste alors cloué sur le flanc tous les soirs !
Je sortirai de ce néant aride un jour,
Pour que la sombre vie se change en clair séjour,
Et que le sablier de mon cœur se relance,
En redonnant vigueur à mon âme épuisée
De fouiller le bonheur, et avec de la chance,
Abreuver Margot de l’amour au Ciel puisé.

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