
(énième exercice de style cucu)
Son aile fendant l’air, en grâce et lumineux,
Il survole la vie depuis le ciel des dieux…
— K. K.
Oui, la Vie s’enrichit à dépenser sa joie,
Si la mort tarit tout et se terre au tombeau ;
La lumière s’étoile et s’éclaire la voie,
Quand au feu du prochain s’allume le flambeau.
Oui, l’Amour, vrai trésor, unique et sans limites,
Refleurit tous les cœurs au Jardin du bonheur ;
Au Verger des vertus, quand l’Homme l’autre imite,
Il le rend plus heureux de n’être plus pécheur.
Oui, l’Âme au Paradis plane d’une aile fluide
Pour voler adorer l’unique Créateur,
Dans un Éden céleste où son Ange le guide,
À jamais à l’abri du noir Accusateur.
Oui, l’Esprit en éveil reverdira la Terre,
Dans ce monde tout gris où les dieux endormis,
Au réveil, éteindront l’Enfer qui nous atterre,
Pour aller tout semer, l’impur humus hormis.
Oui ! la vraie Délivrance et la claire conscience
Couronnent l’être élu, lui l’ultime gagneur,
Adepte du secret des dieux et de la science
Cosmique, et des combats saints qu’il livre en vainqueur.

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